Les lieux de l’image en mouvement aujourd’hui sont multiples et les formes deviennent de plus en plus hybrides.

Avec L’Œil d’Oodaaq nous proposons de diffuser des œuvres d’artistes sur ces écrans qui nous suivent au quotidien pour y proposer une alternative poétique.

C’est un travail précis puisqu’il s’agit d’être attentif aux différents degrés d’attention propres à ces multiples apparitions d’écrans. C’est ici la première ligne de sélection des œuvres, avant même le choix de la thématiques.

Caissons vidéo

Ce sont des espaces clos, d’immersions. Nous y proposons une ou plusieurs vidéos qui se succèdent. Le public est installé le plus confortablement possible et se plonge au cœur d’une expérience audio-visuelle.

Ces caissons vidéo sont proposés dans des médiathèques, centres culturelles, écoles d’Art, etc.

Salons vidéo

Ces diffusions vidéo se déploient dans des lieux ouverts au dialogue entre les œuvres et le public. Ils sont toujours installés dans des espaces d’attente, le plus souvent à l’intérieur, et laissent une liberté de regard, ce qui permet de se plonger dans les œuvres librement.

Les Salons vidéo sont proposés depuis de nombreuses années dans le cadre du projet Vidéo-Bars qui s’est déroulé à Rennes, et depuis 3 ans à Nantes, dans des salles de cinéma dans l’attente des films projetés dans le cadre de festivals, ou dans des espaces d’attentes divers.

Vitrines vidéo

Les écrans présents dans les espace publics, lieux de passage, proposent des images furtives. Notre attention est faible et courte et ne se répète pas la plupart du temps.

Nous y proposons une œuvre ou une sélection d’œuvres bien spécifiques, puisque adaptée à ce cadre de présentation.